Le Caire général Olivier Yoro, initiateur du Festiwêm a confirmé la tenue dudit Festival pour le mois d'août 22.
« Marcory est un carrefour sportif, culturel et une commune cosmopolite.
En outre, il y a plusieurs activités pour représenter une certaine attractivité. »
C’est en ces termes que Olivier Yro, journaliste et chevalier de l’ordre du mérite culturel, justifie son choix.
Celui de valoriser la Culture wê à Abidjan-Marcory.
Ce, à travers le Festival dénommé « Festiwêm ».
Afin de rassembler tous les jeunes cadres résidents dans les communes d’Abidjan et périphéries autour de ce concept.
Pour cela, Olivier Yro, joint par téléphone ce mardi 12 avril 22, a confirmé la deuxième édition du Festiwêm.
Le Festival est prévu se tenir les 12, 13 et 14 août 2022 au stade Konan Raphaël de Marcory.
« Nous avons l’engagement de faire la promotion du terroir particulièrement le patrimoine wê source de cohésion sociale.
A Marcory parce qu’il n’y a pas que les Ebriés et les Atchans qui y résidents », s’est justifié le commissaire général.
Ce festival, différent des autres festivals, est d’abord à quatre dimensions.
A savoir la chorégraphie, la gastronomie, la ténue vestimentaire wê et le volet scientifique.
Des menus tels que le Kplé, le Zrin go (Feuilles d’épinards avec le riz), les grenouilles, et les chenilles sont, selon Olivier Yro de véritables laxatifs.
A en croire les organisateurs, ces nourritures soignent la constipation chez les wê.
Quant à la tenue vestimentaire wê (Flahé), elle sera présentée sous toutes ses coutures.
Entre autres broderie, cuire etc.
Pour la deuxième édition du Festiwêm, le Commissaire général invite les populations à venir nombreux.
Surtout les ressortissants du grand-Ouest de la Côte d’Ivoire.
Notamment ceux du Guémon et Cavally à s’approprier le Festival.
En effet, Olivier Yro est satisfait du bilan du Festiwêm première édition.
« La première édition du Festiwêm s’est déroulée l’année dernière avec succès, car le pari de le réaliser sur trois jours a été relevé. »
Le Journaliste n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude.
D’abord au parrain de la première édition, le Ministre Alain-Richard Donwahi et son épouse la Sénatrice Laure Baflan.
Puis au maire Aby Raoul et aux partenaires du Festiwêm.
Wenceslas major
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