Mme Adohi et M. Apolllinaire Ihaza de Catalyste+ au premier plan après signature de convention. (Dr)

Lundi 27 mai 2024, rue du commerce Abidjan-Plateau. Au 2è étage de l’immeuble Ebrien, l’organisation canadienne Catalyste+ a signé un « mémorandum d’entente » avec l’Université Jean Lorougnon Guédé de Daloa en présence du représentant le ministre de l’enseignement supérieur.

A travers la signature de convention entre le Prof. Adohi Viviane, présidente de l’UJLOG et Apollinaire Ihaza, Directeur Afrique et Affaires francophones de Catalyste+. 

Cette signature d’accord de partenariat est l’aboutissement d’une mission « diagnostic » auprès de l’université de la Cité des Antilopes par un expert Catalyste du nom de François Cauchy, conseiller volontaire.   

Une convention de collaboration qui marque une grande étape et permettra à ladite université de booster ses capacités pédagogiques, en matière de formation en agroforesterie, surtout pour le développement et la mise en place d’innovations et écologie durable. 

A savoir bénéficier d’un accompagnement dans la création d’un centre de transfert de technologies et de consultance basé sur le modèle des CCCT québécois, Développer une politique de communication qui campe l’image et le message qu’elle veut transmettre.

Egalement les publics qu’elle vise et les moyens pour diffuser son image, dans l’élaboration d’une stratégie de recherche, examiner les pratiques actuelles et développer une stratégie de promotion de l’égalité ainsi qu’un projet sur la chaîne de valeurs du manioc impliquant des groupements de femmes. 

Catalyste+ est une organisation canadienne de développement économique. Financée par le gouvernement canadien, cette institution agit en catalyseur en permettant à ses partenaires à travers le monde, de réaliser leur plein potentiel.  

L’université de Daloa a pour vocation l’agroforesterie. Elle a été créée en 1996, sous le statut d’URES de Daloa, pour devenir en 2012, l’université Jean Lorougnon Guédé.  

Gloire Kelly

Article précédentPromotion de la Côte d’Ivoire : Les bons offices des diplomates de carrière