Dans cette œuvre cinématographique de Oumar Sidibé
Dans cette œuvre cinématographique, Sidibé Abdul Razak, Directeur des Ressources humaines d’une entreprise a été licencié pour détournement de fond(Ph:Dr)

Un an après le jeune réalisateur ivoirien Oumar Sidibé remet le couvert avec la suite de « L’espoir fait vivre », son 1er film fiction. La seconde partie fait en ce moment le tour des grands écrans de la sous-région et sera bientôt projetée en Europe. La grande première de la seconde partie a eu récemment lieu au Centre Culturel Jacques Aka de Bouaké dans le Gbêkê.

C’est une salle archicomble qui a eu la primeur de la projection de «  L’espoir fait vivre », acte 2, parrainée par l’honorable Berry Sidibé, député dans la Région du Folon. Un film fiction de 55 minutes, dans lequel le réalisateur Oumar Sidibé met en exergue, les tares de la société. Notamment le favoritisme, la trahison ainsi que le népotisme.

Dans cette œuvre cinématographique, Sidibé Abdul Razak, Directeur des Ressources humaines d’une entreprise a été licencié pour détournement de fond. Cela, après avoir refusé d’embaucher la conjointe du directeur général. Une fois au chômage son épouse ne pouvant supporter de vivre dans le dénuement, l’abandonne.

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Mais Sidibé Abdul Razak homme intègre, prend courage et avec le soutien de sa fille unique, il ne perd pas espoir malgré les années de souffrances qu’il a traversé.     

Ce long métrage tourné entre Abidjan et Bouaké, deux grandes villes ivoiriennes, est selon le réalisateur une invite à l’intégrité et au travail. « C’est une façon pour moi de conscientiser la jeunesse afin qu’elle se prenne en main », s’est justifié Oumar Sidibé.

Avec la sortie de sa première production, le jeune homme fait son entrée dans le monde de réalisation cinématographique. Ce, après plusieurs scénarii passés inaperçus. Cependant la passion pour la production, lui a permis d’être persévérant et de faire le grand saut en 2019.         

Angeline DJERABE   

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4 Commentaires

  1. Comme quoi, il ne suffit pas d’avoir un talent, il faut en plus et surtout de la passion pour ce qu’on fait. Ce jeune réalisateur mérite d’être soutenu et encouragé surtout par le ministère de tutelle. Grand merci déjà à Mr BERRY SIDIBÉ pour son soutien.

  2. Larégionalenews.ci mille mercis à votre structure. J’en suis vraiment reconnaissant. Merci à mon parrain l’Honorable Berry Sidibé, Me Angeline Djerabé et tous ceux qui veulent valoriser la culture africaine. Vive le cinéma Africaine.

    • Il n’y a pas de quoi M. Sidibé Oumar ! Nous faisons juste notre job! En tout cas merci à vous pour les compliments et cette marque de reconnaissance.

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