La Journaliste Angèle Koulaï, présidente-fondatrice de l’Ofumci, œuvre pour la visibilité de son organisation.
Angèle Koulaï, journaliste et présidente-fondatrice de l’Ofumci, a tenu à faire un plaidoyer à l’endroit des autorités et partenaires. (Ph: Lrci)

La Journaliste Angèle Koulaï, à travers son organisation, entend œuvrer pour le leadership des femmes des médias en Côte d’Ivoire.

« En plus des actions pour leur leadership, la lutte contre toutes les formes de violences basées sur le genre (VBG) au profit des femmes des médias s’inscrit dans les missions assignées à ma structure », a-t-elle affirmé.

À ce titre, elle est à la tâche. En effet, la Journaliste affirme travailler en étroite collaboration avec des femmes journalistes professionnelles auprès de qui, elle mène des actions de sensibilisation sur les VBG d’une part.

D’autre part, elle entreprend aussi des actions, en vue de sévèrement punir les auteurs, de sorte à démotiver tout individu qui en a l’intention.

Aussi, Angèle Koulaï lance-t-elle un appel à toutes les femmes des médias, afin qu’elles adhèrent à l’Ofumci, et bénéficient de tous les avantages que leur offre cette structure.

D’ailleurs c’est à dessein qu’elle dit avoir installé le siège de cette organisation dans la commune de Port-Bouët dans le District d’Abidjan la capitale économique ivoirienne.

En fait, Angèle Koulaï entend se rapprocher ainsi des décideurs et autres partenaires résidant à Abidjan.

Que les femmes des médias adhèrent à l’Ofumci

 « Notre première action a consisté à faire connaître notre organisation aux femmes des médias, aux autorités, ainsi qu’à nos partenaires.

Et également l’organisation d’activités sociales à caractères inclusifs et communautaires », a confié Angèle Koulaï.

Qui a saisi l’occasion pour faire un plaidoyer auprès des partenaires au développement en vue de réaliser les projets à court et moyen terme de son organisation.

Car, à l’entendre, l’Ofumci a besoin de financements pour mener à bien ses différentes activités.

« Nous plaidons auprès des institutions internationales et autres partenaires afin qu’ils nous aident à réussir ces challenges.

Car une femme des médias bien formée et autonome est un atout aussi bien pour son service, que pour la communauté toute entière », a affirmé Angèle Koulaï.

Pour elle, l’autonomisation et la formation des femmes des médias, sont les seules gages de la préservation de leur dignité et de leur sécurité.

En effet, créée le 03 mai 2022 à Abidjan dans la commune de Port-Bouët Abidjan, l’Ofumci est une organisation qui regroupe des femmes des médias de Côte d’Ivoire et œuvre pour leur bien-être social. 

Sarah ZOUH

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